S'il y a un sujet récurrent ,et handicapant, qui n'est pas considérer comme un signale fort, à prendre en compte, c'est bien la fatigue.
Or la fatigue est une réalité relative et pour une part suggestive. Mais cependant bien réelle ? Refuser de l'écouter compromet la sante d'une manière globale, impacte les entreprises, génère des incompréhensions relationnelles. Et les raisons de la fatigue sont variables, complexes et multiples selon les critères personnels, ,les femmes connaissent davantage la fatigue, dû à la charge mentale , dans le quotidien. , les travaux pénibles , ou les conditions de travail ou d'environnement usent davantage les ouvriers etc...
de plus la fatigue physique ou nerveuse s'accorde souvent au non respect de son propre rythme qui est propre à chacun . D'où la législation peut-elle intervenir pour caler un temps de travail obligé, sur une durée exigée à un rythme exigé d'une manière unilatérale ?
Actuellement cette règle du jeu semble délétère et contreproductive.
Aussi je suggère qu'il soit établi avant chaque embauche une échelle de fatigue, qui soit respectée, quitte à la réévaluer dans un temps donné. . Quant le service national existait chaque appelé était soumis à un check up rigoureux, qui donnait des indications soit d'orientation ou de capacité. . La patience demandée dans un contexte ne sera pas utile dans un autre domaine, ,l'attention pour enfiler des fils à soie n'est pas la même fatigue que celle d'un éboueur.
Serge Blanchard